En quête d’inspiration pour votre défi de janvier? Voici quelques témoignages et histoires de participants de l’édition précédente au Royaume Uni, glanés à la fin du mois. Découvrez ce qui vous attend !

Une année plus saine

Joanne
« J’avais déjà essayé (en vain) de faire une pause dans ma conso d’alcool avant. Mais avec le Dry January j’ai vraiment vécu une expérience positive. J’espère vraiment que ça me permettra de revoir ma relation à l’alcool pour avoir une année plus saine. »

Les nuages gris ont disparu

Jon
“Je me sens tellement mieux – généralement moins stressé, et les nuages gris de la dépression ont disparu. D’ailleurs, le fait d’être capable d’aller au pub et de NE PAS boire d’alcool a été très valorisant et rassurant. Je suis plus productif le soir et le matin. Je prévois désormais de faire de l’alcool l’exception plutôt que la règle. J’ai hâte de voir jusqu’à quand je vais tenir cette ambition, qui s’inscrit dans un style de vie plus sain. »

Je me sens complet à nouveau

Jo
« Je buvais une bouteille de vin par jour. J’étais impatient de voir partir mes invités, ma famille et mes amis pour me retrouver seul avec ma bouteille. J’y pensais toute la journée, ça passait avant tout. J’étais dépassé, terriblement malheureux et désespérément seul. J’ai utilisé cette app et ai rapidement réalisé que j’étais plus dépendant de mes habitudes que de mon vin. Je n’ai pas bu une goutte d’éthanol du mois, enthousiasmé par mes progrès. J’ai perdu 3 kilos, j’utilise mon abonnement à la salle de gym à nouveau et j’utilise mes soirées de manière bien plus productive. Je me sens complet à nouveau. Et c’est reparti en
février. Vraiment, je ne peux pas vous dire à quel point ma vie a changé avec votre aide. »

Le petit revers ou dérapage n’est pas la fin du monde

Nathan

“Je suis infirmer spécialisé en alcoologie, qui accompagne des personnes dépendants à l’alcool à s’arrêter de boire. J’ai voulu essayer le défi pour me rendre compte de l’effet que ça fait lorsque je dit à quelqu’un qu’il faut rester abstinent, pour des raisons physiologiques ou mentales. Pour être honnête, je sais que je bois un peu trop. Au début, ce n’était pas aussi facile que j’imaginais et je comptais les jours. J’ai fait des incartades les deux premiers jours, ce qui m’a démontré que lorsqu’on se “détox”, les petit revers ou dérapages ce n’est pas la fin du monde. Ça a changé ma manière de percevoir les défi que les gens affrontent. Dry January m’a amené à me préoccuper de ma propre consommation d’alcool plutôt d’être un peu complaisant – j’ai l’espoir que cela m’aide à revoir ma relation à ma conso d’alcool de manière permanente, autant que de continuer à aider les autres dans leur relation à l’alcool. Sans le Dry January je n’aurais pas imaginé rester abstinent pendant un mois, ou deux ou six. Je recommanderais cela à tout le monde. »

Nous dépensions une somme ÉNORME chaque mois en alcool !

Kaye

« Je suis quelqu’un qui boit toutes les semaines depuis… je ne sais honnêtement plus depuis quand. Je vais avoir 55 ans et ai une fille de 18 ans, donc sans doute depuis ma grossesse. La différence impressionnante du défi c’est notre compte en banque. En fait, nous dépensons une somme ÉNORME chaque mois en alcool. Nous allons donc devoir sérieusement revoir nos habitudes. »

L’opportunité de savoir pourquoi je bois

Gillian

« Comme de nombreuses autres mamans, je me suis aperçu que j’utilise l’alcool comme une récompense pour moi-même quand mes enfants sont couchés. J’ai d’abord eu besoin d’évaluer combien et à quelle fréquence je buvais lors d’un check-up pour le diabète, et je me suis aperçu que je buvais une bouteille de vin par jour tous les jours avec mon mari. Nous sortions aussi tous les vendredis soirs, et consommions régulièrement une bouteille chacun. L’infirmier qui m’a fait le check-up ma dit sans ambage que c’était trop, qu’il fallait réduire. J’avais déjà l’intention d’agir, mais j’ai en fait continué au même rythme. C’était une habitude, que j’étais impatiente de retrouver chaque soir. 

“A Noël, j’étais comme toujours l’hôte enthousiaste des festivités, et j’ai fournit l’alcool en quantité à mes joyeux invités. Mais c’est à l’approche du mois de janvier que j’ai décidé que c’en était trop. Il fallait que j’agisse sur ces habitudes, pour me prouver que j’avais le contrôle. 

“Dry January m’a offert l’opportunité d’évaluer pourquoi je bois et m’a permis de retrouver le contrôle sur ma conso, sur quand je veux boire et quand je le faire par réflexe. Le fait d’arrêter pendant un mois ma permis de rompre avec cette habitude du “salon + vin” de chaque soirée. En février, j’utiliserai ce contrôle retrouvé pour ne plus boire de vin le soir de lundi à jeudi.

“J’ai déjà relevé plein de bénéfices à ce défi ! Je dors mieux, j’ai plus d’énergie et ai perdu du poids, ma peau à retrouver son teint brillant et frais et je me sens bien plus en contrôle de mes actions. »

 

Ça pourrait bien être l’avenir !

Phil

 » J’ai passé un vrai test hier soir ! je suis sorti avec des potes voir un groupe de musique local. Je suis certain de ne pas jamais les avoir vu un soir sans finir ivre. Je m’étais dit qu’il allait falloir de l’assurance et de la confiance en moi donc j’ai appliqué un conseil qu’on m’avait fait et j’ai dit que je conduirais mes amis au pub. Ça a duré tard et pourtant je me suis levé tôt ce matin, en pleine forme, avec les idées claires ; plus tôt même que si j’avais dû aller au travail et je suis prêt à profiter du weekend !

“Si l’alcool m’a manqué? Pas du tout, et pour être honnête ça pourrait bien être l’avenir  »

Je n’aurais vraiment jamais cru que j’aimerai à ce point être sobre !

Jess

« Je n’aurais vraiment jamais cru que j’aimerai à ce point être sobre ! 

“J’ai décidé de me lancer dans le défi de janvier pour démarrer un changement de vie ; pas pour abandonner complètement l’alcool mais me prouver que je n’en avais pas besoin tous les weekends, ou à chaque fois que je voulais décompresser. 

“Au bout d’une semaine, je me sentais vraiment au plus mal. La seconde semaine, quelque chose avait changé. J’étais plus concentrée et efficace au travail, surtout ces fameuses réunions matinales et mon moniteur de sommeil m’annonçait 9h de sommeil ininterrompu. 9 heures complètes ! 

“Durant la troisième semaine, j’ai bu un verre de vin. Je ne regrette pas du tout, en fait ça m’a rappelé que finalement ce n’est pas si bon, pas aussi bon que je me l’imaginais ces trois dernières semaines. Après ça, le vin m’a beaucoup moins manqué. 

“Je me suis aperçu que l’alcool n’est pas un passage obligé de ma semaine, et honnêtement je ne pensais vraiment pas que ce soit possible. Je considère maintenant que boire un verre c’est pour les occasions spéciales, et je peux vraiment fêter quelque chose sans boire d’alcool. »

Vous souhaitez partager votre histoire? Nous serions ravis de vous lire. Envoyez un e-mail à info@dryjanuary.fr