Beaucoup de participant·e·s au Dry January nous racontent la pression sociale à boire un verre. Le Dry January, c’est aussi l’occasion d’expliquer qu’on peut tout à fait s’en passer ! Le témoignage de Théo.
Ne pas boire parmi les autres renvoie forcément à une abstinence totale ou à une inquiétante étrangeté. Le Dry January, c’est parfait pour expliquer pourquoi on refuse un verre.
L’alcool est présent chaque fois que l’on se croise, que l’on se rencontre, que l’on fête. Le poids des normes sociétales, particulièrement en France, poussent à une consommation systématique sans recherche de plaisir. Le Dry January, cela permet un retour du raisonné.
En ce qui me concerne, ne pas boire fut plus facile que prévu. Et je suis heureux d’avoir tenu car j’espère continuer sur le mois de février puis revenir à une consommation s’appuyant sur le plaisir sans les ravages des degrés d’alcool.